Nous faisons l’expérience d’une vie digitale chaque jour dans notre vie. Il est devenu presque difficile de connaitre une personne physique d’abord, à moins d’habitiez le même quartier que lui (même ici encore il nécessite de la virtualité après). Chaque jour, au moins 2 personnes sur 4 font la connaissance d’une personne virtuellement. Le monde connait l’évolution chaque jour ; chaque jour il y a des nouvelles méthodes de l’information, des nouvelles applications et des progrès.

La fois passée nous avons ténu un argument selon lequel un journal de presse (Journal écrit pour ne plus manquer l’actualité) était bon pour nous accompagner à ne pas manquer l’information dans son évolution. Nous avons poussé les fameuses 5 raisons qui nous avaient motivés à tenir une pareille affirmation.

Sans nous contredire ou nier nos propos face à la presse écrite, qui demeure jusqu’à la preuve contraire, un moyen précieux et accessible à tout le monde pour s’informer, nous ne pouvons pas minimiser le rôle très remarquable de la presse en ligne (Information digitale) qui a submergé le domaine de la presse depuis quelques années.

En effet, depuis l’apparition de la fameuse expression Village planétaire, l’expression chère à Marshall McLuhan, tirée de son ouvrage « The Medium is the Massage » paru en 1967, pour qualifier les effets de la mondialisation, des médias et des technologies de l'information et de la communication.

Selon ce philosophe et sociologue canadien, « les moyens de communication audiovisuelle modernes (télévisionradio, etc.) et la communication instantanée de l'information mettent en cause la suprématie de l’écrit ». Dans ce monde unifié, où l’information véhiculée par les médias de masse fonde l’ensemble des micro-sociétés en une seule, il n’y aurait selon lui désormais plus qu’une culture, comme si le monde n’était qu’un seul et même village, une seule et même communauté « où l'on vivrait dans un même temps, au même rythme et donc dans un même espace ». Ah oui, on s’aperçoit que le domaine de la communication a connu une grande évolution.

Aujourd’hui encore, si nous nous mettons à expérimenter cette réflexion qui date de l’année 1967, nous pouvons croire que cette réflexion était une prophétie de ce que nous vivons aujourd’hui. Le monde en soi est devenu petit et on a l’impression de vivre dans une sorte de voisinage les uns les autres. Malgré l’écart des heures qui sépare les différents pays du monde, on a la possibilité de suivre en même moment un évènement qui se passe en direct dans n’importe quel pays du pays, à partir de là où on se trouve grâce à une connexion internet qui relie les internautes dans l’ensemble de la planète.

Comme on peut s’en apercevoir aujourd’hui, il existe plusieurs sites d’information en ligne qui partagent instantanément les informations sur tous les domaines de la vie, et dans l’ensemble de la planète. Ce qui fait qu’on peut lire une information d’un évènement qui s’est passé en Inde à partir d’un site d’information de la R.D Congo. L’auteur raconte l’évènement comme ci il était en Inde. N’est-ce pas une merveille ?

L’avantage que nous avons de la presse en ligne est de nous informer instantanément, sans rupture (à titre d’exemple : une conférence de presse : la presse en ligne nous tiendra informer comme-ci vous étiez sur le lieu de la conférence avec tous les détails possibles : photos, audio, interventions). On se rend compte que l’instantanéité de l’information en ligne fait d’elle un moyen précieux pour nous permettre de rester au cœur de l’actualité mondiale.

Si nous poussons encore plus loin notre réflexion, l’information en ligne permet aux personnes de former une communauté de débats, de discussions et un espace de réflexion pour ses abonnés. Etant donné qu’il existe des sites qui proposent à ces abonnés d’avoir un compte qui permettra à chacun de réagir sur un article ou une information à sa disposition.

Au lumière de ces deux moyens d’informations qui sont tous deux précieux pour nous tenir informer, nous nous refusons de mettre les deux sur une même balance, étant donné tous les deux sont les moyens d’informations, chacun se spécialisant en ce qui le concerne pour informer la population. Par ailleurs, il faut noter ces deux moyens ne sont pas accessibles à tous et partout pour des raisons des techniques, des professionnalismes, des connaissances ou encore de moyen financé.

La presse écrite (Journal écrit) nous permet de lire les informations passées avec certitude et cohérence, tandis que la presse virtuelle, grâce à son instantanéité nous permet de rester au cœur de l’information sans rupture et avec tous les détails possibles. Les deux moyens ne se contredisent pas, mais se complètent plutôt.

De nos jours, il est devenu rare de voir une personne se promener avec un journal de presse en route, dans un taxi ou transport en commun, et pourtant dans les années antérieurs, un journal écrit était un compagnon fidèle de tous les citoyens. Cette pratique est devenue presque morte, surtout dans notre ville où tout est migré vers le virtuel. A l’époque de nos pères, c’était une habitude, un mode de vie, lire chaque matin un journal écrit à la maison ou au bureau.

Dans cet article, nous vous donnons 5 raisons qui vous feront aimer un journal écrit (la presse écrite), ainsi, vous n’allez plus manquer l’actualité du pays.

  1. la précision du message

Nous vivons un moment où les « fake news » sont au rendez-vous dans notre quotidien. Il ne se passe plus un jour sans qu’il ait la circulation d’une fausse information ou la rumeur sur une personnalité politique, sur l’administration ou encore une entreprise.

Un journal écrit est une solution à ce problème qui nous secoue ces dernières années, car un journal est connu par son siège, l’autorisation d’apparaître, personnalité juridique, sa réputation et la personne qui a écrit l’article mettra à la fin sa signature. Avec toutes ces informations sur le journal et la personne qui a écrit l’article, nous osons croire que l’information sera vraie, et pourrait te permettre d’être à la une de l’actualité.

  1. Horaire du travail

A ce stade, nous pensons que notre travail nous empêche de fois d’être informé sur les actualités, à telle enseigne que les horaires du travail sont différents de ceux des journaux télévisés ou radios. A titre d’exemple, un papa qui travaille dans une imprimerie qui commence le travail à 7h30’ puis prend fin à 16h00’ peut éprouver des grandes difficultés pour s’informer étant donné son travail ne lui permet pas de rester devant la télévision ou la radio pour suivre l’information

Un journal écrit peut lui sembler utile pour s’informer des actualités et autres informations.

  1. L’électricité

Dans notre pays, c’est l’électricité un grand défi à relever. L’électricité pose des sérieux problèmes dans l’ensemble du pays. Ce qui fait à ce que quand l’information est relayée à la télévision, on n’a pas la possibilité de la suivre, faute de l’électricité.

Pour ceci, un journal écrit est meilleur d’autant plus qu’il ne demande pas l’électricité pour être lu.

  1. L’abonnement

Aujourd’hui, avec l’avènement du TNT (Télévision Numérique Terrestre), nous sommes obligés de payer un bouquet numérique de télévision pour s’informer. Payer un bouquet ne peut sembler un problème, la question qu’on peut se poser, à quel prix coutera ce bouquet ?

Le bouquet numérique de télédiffusion est une forme de télévision par satellite qui consiste à utiliser les capacités à large bande de satellites afin de transmettre un ensemble de chaînes de télévision par emploi métaphorique de l'idée de bouquet de fleurs.

Dans ce cas, si nous désirons rester au cœur de l’actualité, la manière la plus simple de le faire est de devenir fan du journal écrit qu’on peut se procurer à un prix abordable.

  1. Ajout d’un nouveau savoir dans notre mémoire

La lecture d’un journal de presse permet de découvrir certains nouveaux mots, appellations, conjugaison, les villes, … que nous ignorons encore. Elle nous permet alors de faire une mise à jour de notre mémoire, nous faisant passer des ignorants aux intellectuels.

En dépit de tous ce que nous venons de dire, il peut avoir des difficultés en ce qui concerne la presse écrite, comme la difficulté de l’impression, les moyens mis en place pour se procurer l’information ou encore sa diffusion. Nous ne voulons pas en parler d’autant plus que ces difficultés concernent l’Editeur et non la personne qui doit lire. Notre préoccupation dans cet article était de faire voir combien est avantagé de lire un journal écrit (la presse écrite) tout le jour. Il convient de souligner en outre que lorsque nous parlons la presse écrite, il ne s’agit pas seulement du journal écrit, le pressé écrite englobe tous ceux qui sont imprimables sur papier dans un sens plus large ; mais comme nous avons dit ci-haut, notre attention est porté sur le journal écrit, qui est mode d’informer la population sur l’actualité.

A part les avantages que nous avons cités ci-haut, il existe encore d’autres que nous ne pouvons citer faute de l’espace pour ne pas vous ennuyer. Alors dites-nous dans la partie commentaire, quel autre avantage d’un journal écrit (la presse écrite) qui vous vient en tête lorsque vous avez lu cet article.

Malafi'arts Production, collectif d'artistes pour le management et la production des évènements culturels, lance les appels aux candidatures pour ces différents programmes.

1. Appel à Candidature Rencontre MutuBuku 3 (atelier d'écriture et de lecture)

Devenir MutuBukeur et MutuBukeuse
L'objectif de cet atelier d'écriture et de lecture est de mettre en œuvre plusieurs compétences chez les enfants de 8 à 16 ans : lire librement une œuvre littéraire. Etre capable d'écrire son idée. Savoir critiquer une œuvre. Comprendre les expressions théâtrales. Établir le pont entre littérature, théâtre (la mise en scène) et numérique.
Cet atelier désigne trente jeunes lecteurs de N'djili/Kimbanseke autour du livre Samouraïs dans la brousse de Guillaume Jan (Parti en funambule sur les traces de Takayoshi Kano, primatologue japonais des bonobos et des folies avides de Mobutu, Guillaume Jan en rapporte un récit ébouriffant, qui explore les liens entre le Japon et le Zaïre des années 1970, entre les origines de l'humanité et un village isolé de l'actuelle République démocratique du Congo.
Une aventure peu commune, un voyage sur les traces des derniers bonobos et d'un homme qui leur a voué une grande partie de sa vie, du Congo au Japon)

MutuBuku, ce néologisme est la concaténation de deux mots en lingala : Mutu, soit la tête ou l'homme et Buku, le livre.
Les MutuBukeurs exposent leurs MutuBukus (une large explication à en quelques minutes d'un livre de leur choix ou imposé, devant un public) ils partagent leurs découvertes et coups de cœur.

La restitution de cet atelier serait en présence de l'auteur le samedi 26 novembre 2018 de 13h°° à 15h°°, à l'occasion de la fête du livre de Kinshasa, dans la Maison Culturelle des Mwindeurs (Réf : Église Armée des héros, 34, Nsamu, Quartier Maviokele, Commune de Kimbanseke)

Animateurs d'atelier :
- Tony ELEBE ma Ekonzo : Libre penseur non affilié, écrivain depuis peu et toujours, car il s'agit à la fois d'un état d'âme permanent et matérialisé. Auteur du roman AU-DELÀ DES ÉTOILES. LA PART D'OMBRE DES HÉROS
- Jean-Claude Ntuala : Grand lauréat du premier Prix Makomi dans le cadre de la Fête du livre de Kinshasa, édition 2017. Journaliste et écrivain précoce.
- Vicky Kananda : éducatrice maternelle et amoureuse de la poésie urbaine.

Participation gratuite


2. Festival Mwinda Na Molili
APPEL A CANDIDATURE BATTLE HIP HOP
(CONCOURS RAP)

Vous êtes rappeur ou un groupe de rap, vous pouvez traiter les maux à travers les mots.
Vous souhaitez représenter valablement votre commune sur la scène du festival Mwinda Na Molili ?

Composez une belle chanson sur le thème de la Fête du Livre de Kinshasa "CONGO, REGARDS CROISÉS" et
Inscrivez-vous au Battle Hip Hop MNM (Concours Rap)

Prix à gagner : Enregistrement d'une chanson audiovisuelle pour le premier et d'un son pour le deuxième et le troisième.
Pour participer, envoyez votre freestyle de 1 minute, votre photo, nom, prénom, numéro de téléphone et adresse à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Date limite le 20 septembre 2018.


3. Appel à Candidature DEEJAYKIN'G

: A l’occasion de la troisième Phase du festival Mwinda Na Molili, le Collectif Malafi'arts Production, en association avec l'Institut Français et Racine Alternative Production lancent un grand concours de DJs, dénommé DeejayKin'G à travers la ville de Kinshasa (24 DJ représenteront les 24 communes de la ville Kinshasa).

A gagner ? Une Platine Dj, la participation à un grand atelier de Deejaying [sur 1. - quels sont les matériels d'un dj (à la radio, boite et aux concerts) et comment les entretenir ? 2. - comment préparer son set, quel mixe pour quel public ? 3. - La place d'un Dj dans la société ! ] et des sets aux évènements mythiques de la ville (Radio, barbecue, Pique-nique, Concert...) aux côtés des grandes figures de la scène urbaine de Kinshasa.

Envie de vous produire en dehors de votre chambre ?
Pour participer, envoyez votre mix de 3 minutes, votre photo, nom, prénom, numéro de téléphone et adresse à : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser..
Vous avez jusqu’au 28 septembre !
Une fois les auditeurs auront choisi les 24 élus, les mixes seront soumis au vote d’un jury de pro­fessionnels et animateurs de l'atelier parmi lesquels Dj Abdoul (Dj, Producteur et manager des vies de nuit) et Dj Daddy (Responsable de la programmation musicale à la radio Okapi).

Faites-nous voyager dans le monde entier du passé au futur, À vos platines !

Malafi’arts production, est l’une de branches de la C.C.A.H, un collectif d'artistes pour le management et la production des évènements culturels, un Centre de Création Artistique et de Recherche en milieu urbain, crée par NIAMBA MALAFI Jehovahnissi–Lumière Caillera.
Il a pour objectif global : - la vulgarisation des arts de spectacles dans les milieux périurbains avec une mission de former, de produire, de manager et d’accompagner les artistes ainsi que leurs œuvres pour une visibilité globale et une cohésion socioculturelle.
Malafi’arts production se bat pour mettre la lumière pour une culture de la culture en RDC.

Les aspirants internes de la Société Saint Paul de la Région Congo ont bénéficié d’une session instructive pendant deux jours, allant du vendredi 21 au samedi 22 septembre, avec le psychologue André ETANDALA. Cette session s’est déroulée dans la salle des réunions du bâtiment administratif/Médiaspaul dénommée "Frère Pembele". Et elle eut pour thème : «  La créativité personnelle pour stimuler l’unité dans la diversité ». En effet, dans un cadre comme religieux où plusieurs membres – en dépit de leurs capacités et qualités divergentes - sont sensés promouvoir l’unité, cette session a été d’un grand apport. En résumé, disons que la  créativité a été définie comme la capacité de produire les œuvres nouvelles. Mais celle-ci devra avoir l’aval environnemental, car elle n’est bonne que si elle tient compte de son environnement c’est-à-dire des autres et des normes établies

Le dimanche suivant la solennité de la Sainte Trinité, l’église notre mère nous invite à célébrer avec faste, la solennité du Saint Sacrement. Le Corps et le Sang de notre Seigneur Jésus le Christ. Ce repas saint de gloire qui nous fait participer à la vie même de celui qui en est l’auteur et l’origine, Jésus-Christ. Ce corps donné en sacrifice, nous communique le Salut Eternel ; et ce sang rependu comme celui d’un agneau qu’on abat pour la purification, renouvelle notre corps, notre âme et notre esprit, afin de nous introduire dans la joie de la nouvelle alliance.

Cependant, tournons un regard remplit d’amour vers les ministres ordinaires de l’eucharistie, qui ne font qu’appliquer ce que dit le Grand Prêtre : « Faites ceci en mémoire de mo ». En le disant, le Christ les invite à perpétuer ce mystère grand et à aimer d’avantage ce repas qui donne le salut et la vie éternel. Le Christ agit tout entier dans ses ministres, opérant cette transsubstantiation. C’est-à-dire, la transformation du pain en corps et du vin en sang du Christ.

Mais qui sont réellement ces personnes, par qui le Christ agit ?

Le révérend père Jules KIPUPU, Sj, recteur du scolasticat Saint Pierre Canisius, dans son homélie lors de la célébration du Jeudi-Saint en la chapelle de la communauté jésuite de Kimwenza, le 29 mars 2018, dit en ces mots : « Ils sont cuisiniers de l’Eucharistie ». Cela pourrait vous paraitre absurde, mais ce qualificatif contient en soi une grande dimension théologique.

Heureux les invités au repas du Seigneur !

Etre invité à la table, ne semble pas remplir toutes les conditions. Il faudrait alors que cette table soit prête. Et pour qu’elle y soit, il faut des personnes pour la préparer. C’est-à-dire, des cuisiniers pour faire cuire la nourriture. En ce sens, les prêtres ne sont-ils pas des cuisiniers de l’Eucharistie ?

Le Père KIPUPU ajoute encore en disant : « le cuisinier, n’est-ce pas celui qui met toute son intelligence, toute sa générosité, toute son inventivité au service de la restauration des autres, d’une communauté, d’une famille ? N’est-ce pas celui qui, pour donner le mieux de lui-même, se sacrifie pour offrir à manger tous les jours ? Si aujourd’hui nous célébrons la solennité du Saint Sacrement du corps et du sang du Christ, c’est aussi parce que, à la suite du Christ qui est le cuisinier par excellent, étant à la fois la table, la nourriture et le cuisinier, il y a tant d’autres cuisiniers qui participent à cette nature d’excellence du Christ, en donnant tout par amour et par dévouement pour offrir au temps voulu, le repas Pur et Saint. Ainsi, cet acte d’amour et de générosité obtient à tous ceux qui y prennent part, la restauration spirituelle.

Prêtre unique du Très-Haut, donne à tes serviteurs, cuisiniers de l’Eucharistie d’imiter dans leur vie ce qu’ils célèbrent.

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