C'est dans la maison Cité de la jeune fille que l'inter noviciat masculin saint Joseph, dans l'Archidiocèse de Lubumbashi, a organisé la session sur le vœu de Pauvreté à laquelle ont participé les novices de différentes congrégations dont ceux de la Société missionnaire de saint Paul, accompagnés de leurs formateurs. Pendant trois jours, soit du mardi 08 au jeudi 10 février, les participants ont présenté de riches enseignements du père Marie-Georges MBAYO, Ofm, qui a animé cette session.
L'orateur a commencé par expliquer la pauvreté dans son sens sociologique, puis dans son sens religieux à travers l'histoire, pour tomber par le vœu de Pauvreté en question. Il a rappelé dans ses propos que la pauvreté en soi est une mauvaise a choisi de combattre mais comme religieuse : « il s'agit de la pauvreté en esprit qu'il faut acquérir pour vivre avec et à la suite du Christ. La pauvreté religieuse ne veut pas dire indigence mais elle implique : une pauvreté de l'être qui est une orientation fondamentale de notre vie qui est appelée à entrer dans l'abaissement du Christ lui-même comme saint Paul le présente dans Philippiens 2, 5 -8 ; une pauvreté de l'avoir qui signifie ne rien posséder en propre pour signifiant que l'abondance matérielle n'
C'est par la célébration eucharistique dite au terme de ces assises, que le célébrant, animateur de la session, à la lumière de l'Evangile du jour, a invité les novices à choisir la meilleure part à l'exemple de Marie, sœur de Marthe (Luc 10, 38-42). Cette meilleure partie est pour eux, la liberté que procure le vœu de pauvreté vis-à-vis des lois de l'avoir et du paraître qui gouvernent le monde. La session sur le vœu de pauvreté est la quatrième session depuis l'ouverture de l'inter noviciat le 29 septembre de l'an dernier.